Technologies de demain : la France n'a pas dit son dernier mot
In Capital (Paris. 1991), 368 (05/2022), p.42-59 Dossier consacré à la deep tech française, aux start-up proposant des produits ou des services sur la base d'innovations de rupture : l'accompagnement financier de la création de start-up de la deep tech pour faciliter le transfert de technologie ; les besoins d'investissement en lien avec les risques ; la volonté politique de développer la souveraineté scientifique et économique en France ; les mesures prises au niveau européen. La place des start-up françaises dans la mise au point de l'ordinateur quantique. L'exemple de l'entreprise de services du numérique française, Atos, avec la production de supercalculateurs. Le développement en France, par l'entreprise Valeo, et en Europe, de lidar, ou télédétection par radar, utilisé dans les véhicules autonomes. La réussite de la French Tech dans le Web3 et le développement de métavers. L'essor des technologies liées à la blockchain avec, notamment, la mise au point de stablecoin, réplique numérique de monnaie. La volonté européenne de proposer un réseau de télécommunication spatiale européen. Les avancées technologiques dans la lutte contre le vieillissement et l'essor des start-up dédiées aux recherches et aux applications de santé. Focus : les plans financiers d'accompagnement en France et en Europe ; les jeunes entreprises françaises dans le développement des voitures autonomes. Schéma de l'Internet haut débit par satellite. |
« Technologies de demain : la France n'a pas dit son dernier mot »
in Capital (Paris. 1991), 368 (05/2022), p.42-59.
Titre : | Technologies de demain : la France n'a pas dit son dernier mot (2022) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Capital (Paris. 1991) (368, 05/2022) |
Article : | p.42-59 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | création d'entreprise / innovation technologique |
Résumé : | Dossier consacré à la deep tech française, aux start-up proposant des produits ou des services sur la base d'innovations de rupture : l'accompagnement financier de la création de start-up de la deep tech pour faciliter le transfert de technologie ; les besoins d'investissement en lien avec les risques ; la volonté politique de développer la souveraineté scientifique et économique en France ; les mesures prises au niveau européen. La place des start-up françaises dans la mise au point de l'ordinateur quantique. L'exemple de l'entreprise de services du numérique française, Atos, avec la production de supercalculateurs. Le développement en France, par l'entreprise Valeo, et en Europe, de lidar, ou télédétection par radar, utilisé dans les véhicules autonomes. La réussite de la French Tech dans le Web3 et le développement de métavers. L'essor des technologies liées à la blockchain avec, notamment, la mise au point de stablecoin, réplique numérique de monnaie. La volonté européenne de proposer un réseau de télécommunication spatiale européen. Les avancées technologiques dans la lutte contre le vieillissement et l'essor des start-up dédiées aux recherches et aux applications de santé. Focus : les plans financiers d'accompagnement en France et en Europe ; les jeunes entreprises françaises dans le développement des voitures autonomes. Schéma de l'Internet haut débit par satellite. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | article de périodique |