Economie en histoire : les juges titillaient déjà le pouvoir
de Frédéric Tristram In Capital (Paris. 1991), 360 (09/2021), p.84-85 Mise en parallèle de la dénonciation de l'intervention des juges dans les affaires de l'Etat, avec le soutien du président de la République, Emmanuel Macron, au garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, mis en examen, en juillet 2021, par la Cour de Justice de la République et le recadrage par Louis XIV, en 1655, des juges du Parlement de Paris : l'évocation, au fil de l'histoire, des prises de position des juges dans les affaires de l'Etat. Analyse de la gravure sur bois, "l'Etat, c'est moi", réalisée en 1845. |
Tristram Frédéric.
« Economie en histoire : les juges titillaient déjà le pouvoir »
in Capital (Paris. 1991), 360 (09/2021), p.84-85.
Titre : | Economie en histoire : les juges titillaient déjà le pouvoir (2021) |
Auteurs : | Frédéric Tristram, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Capital (Paris. 1991) (360, 09/2021) |
Article : | p.84-85 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | pouvoir judiciaire |
Tags : | histoire de la France |
Résumé : | Mise en parallèle de la dénonciation de l'intervention des juges dans les affaires de l'Etat, avec le soutien du président de la République, Emmanuel Macron, au garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, mis en examen, en juillet 2021, par la Cour de Justice de la République et le recadrage par Louis XIV, en 1655, des juges du Parlement de Paris : l'évocation, au fil de l'histoire, des prises de position des juges dans les affaires de l'Etat. Analyse de la gravure sur bois, "l'Etat, c'est moi", réalisée en 1845. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | / Article de périodique //article de périodique |