Pourquoi je n'ai pas inventé la roue et autres surprises de la sélection naturelle
de Michel Raymond Odile Jacob L'évolution des espèces vivantes repose sur un outil d'une extraordinaire efficacité: la sélection naturelle qui, à partir de diverses possibilités produites au hasard, "choisit" les meilleures et en assure la survie au fil des générations. L'oeil est l'exemple type d'un organe très complexe façonné par le hasard et la sélection. L'absence d'animaux dotés de roues en est un autre, comme le fait que le poisson volant, malgré un essai prometteur, ait finalement décidé de rester poisson plutôt que de devenir oiseau. Les ingénieurs adeptes du "biomimétisme" ne sont pas les derniers à admirer les produits de la sélection naturelle et à en imiter les stratégies. Les chercheurs en évolution humaine, eux, se demandent si l'homme, animal culturel par excellence, subit lui aussi les effets de la sélection. La politique, la morale, voire la religion, auraient-elles des racines biologiques ? Ce livre apporte de surprenants éléments de réponse, qui viennent brouiller la frontière trop commodément tracée entre nature et culture. Michel Raymond, directeur de recherche au CNRS, travaille à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier. |
Raymond Michel.
Pourquoi je n'ai pas inventé la roue et autres surprises de la sélection naturelle.
Odile Jacob.
Titre : | Pourquoi je n'ai pas inventé la roue et autres surprises de la sélection naturelle |
Auteurs : | Michel Raymond, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Odile Jacob |
ISBN/ISSN : | 978-2-7381-2774-7 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | innovation technologique / relation homme-animal / sélection animale / sélection naturelle |
Tags : | biomimétisme |
Résumé : | L'évolution des espèces vivantes repose sur un outil d'une extraordinaire efficacité: la sélection naturelle qui, à partir de diverses possibilités produites au hasard, "choisit" les meilleures et en assure la survie au fil des générations. L'oeil est l'exemple type d'un organe très complexe façonné par le hasard et la sélection. L'absence d'animaux dotés de roues en est un autre, comme le fait que le poisson volant, malgré un essai prometteur, ait finalement décidé de rester poisson plutôt que de devenir oiseau. Les ingénieurs adeptes du "biomimétisme" ne sont pas les derniers à admirer les produits de la sélection naturelle et à en imiter les stratégies. Les chercheurs en évolution humaine, eux, se demandent si l'homme, animal culturel par excellence, subit lui aussi les effets de la sélection. La politique, la morale, voire la religion, auraient-elles des racines biologiques ? Ce livre apporte de surprenants éléments de réponse, qui viennent brouiller la frontière trop commodément tracée entre nature et culture. Michel Raymond, directeur de recherche au CNRS, travaille à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier. |
Nature du document : | documentaire |
Exemplaires
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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